• luk___@lemmy.world
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    1 year ago

    « L’une des raisons de cette divergence est le fait que les agences réglementaires jugent non fiables ou non pertinentes l’écrasante majorité des études universitaires, explique Pauline Cervan, ancienne toxicologue pour l’industrie chimique, désormais chargée de mission à Générations futures. Pour l’ensemble des effets que nous avons analysés, l’Inserm s’est appuyé sur quarante-cinq études académiques, mais une seule d’entre elles a été jugée pertinente et fiable par les agences. Celles-ci considèrent en priorité les études standardisées que leur fournissent les industriels. »

    • Narann@lemmy.world
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      1 year ago

      Merci. C’est une stratégie observé depuis un moment que les industrielles noient les études scientifiques sérieuses sous les leurs. Plusieurs scandales ont éclaté les dernières décennies, car les organismes de agences de régulations suivaient les études scientifiques en partant du principe qu’elles étaient sérieuses.

      Maintenant ils les sélectionnent, et c’est une très bonne chose.

      • Mr_pichon@jlai.lu
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        1 year ago

        Enfin si les seules études sélectionnées c’est celles des industriels c’est pas forcément une si bonne chose