Il y a méprise. Je ne fais pas référence a l’indifférence des internautes pour mes textes, ce n’est pas en rapport avec mon orgueil. Mais bel et bien les bas-votes. Car si bas-vote, il y a un message derrière. Un message que personne ne s’est donné la peine d’expliquer à part toi.
Si c’est un canal générique, à moins que je me trompe, cela inclut des essais d’écriture?
J’ai déjà demandé directement à la communauté s’il valait mieux que je ne publie pas ces posts sur/c/France.
Les réponses que j’ai reçu m’ont invité a continuer d’y poster, car (et non selon mes propres dires) ça apportait de la diversité à la communauté.
Pour ce qui est des détracteurs, ils ont eu douze semaines pour m’écrire le fond de leur pensée. Silence.
On a très clairement un désaccord sur la façon de communiquer par ce média. Mais on se met d’accords sur un point. Je vais laisser a /c/France ses scrolls interminables de fil d’actualité.
Cela étant dit, je te remercie d’avoir pris le temps de commenter.
Je trouve que ce qui est décrit ici est encore plus proche de Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. L’égoïsme et l’apathie face au surplus d’information (ou plutôt de divertissements dans le bouquin). C’était un peu le précurseur de la série Netflix “black mirror”, quand j’y pense.
Dans une interview de Bradbury vers la fin de sa vie, je me souviens qu’il avait montré un profond cynisme et pessimisme face a notre culture de l’écran (il faisait référence à la TV ET à internet car pour lui ca ne faisait pas de différence). J’avais été en profond désaccord avec sa critique de nos nouveaux médias. Mais ~15 ans après, je me dis qu’il avait pas si tort, le bougre.