Traduisible en français par “biais cognitif des coûts irrécupérables”, c’est l’idée que l’on ait tendance à vouloir terminer quelque chose malgré notre déplaisir, uniquement parce qu’on a investi trop de temps dessus (ou de l’argent). Ca existe dans tous les domaines, mais je me suis souvent demandé s’il y avait des tendances ou des œuvres qui seraient citées assez souvent.
Bien sûr, les gouts et les couleurs, tout ça tout ça, le but n’est pas de s’envoyer des croissants dans la tronche s’il y a désaccord mais plutôt de voir la variété de points de vue…

Bref, quel est le livre/série/jeu où vous avez été dans cet état là ? Continuer malgré le déplaisir.
(et question subsidiaire, vous avez réussi à sortir de ça ou vous vous êtes senti obligé de finir l’œuvre?)

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    3 months ago

    Je trouvais ta question intéressante et je me demandais comment je pouvais y répondre. Tu m’as servi ça sur un plateau : j’ai tellement lu de Stephen King en me disant “un moment donné je vais tomber sur un livre qui va me surprendre et qui va justifier tout le hype”.

    C’est jamais arrivé. Le dernier livre j’ai essayé était Le Fléau (The Stand) que je n’ai même pas fini et depuis je n’ai plus redonné de chances à ses livres.

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      3 months ago

      Je trouvais ta question intéressante et je me demandais comment je pouvais y répondre. Tu m’as servi ça sur un plateau : j’ai tellement lu de Stephen King en me disant “un moment donné je vais tomber sur un livre qui va me surprendre et qui va justifier tout le hype”.

      C’est jamais arrivé. Le dernier livre j’ai essayé était Le Fléau (The Stand) que je n’ai même pas fini et depuis je n’ai plus redonné de chances à ses livres.

      Sinon dans un autre ordre d’idée, en grandissant il y a tellement d’artistes musicaux que je me “forçais” à aimer. Maintenant mon critère est “est-ce que j’aime ça ?” C’est tout ce qui compte. J’ai terminé de me forcer à aimer des groupes, souvent qui sont populaires et en réalité mediocres. De toute façon je connais une quantité de bands tellement grande que ça ne me manque pas de ne pas écouter ceux que tout le monde s’enfonce dans le fond de la gorge sans réfléchir.